Littéralement, le terme « agile » implique « l’habilité à bouger de façon légère et gracieuse et de s’adapter rapidement.»
Les nouvelles approches « Agiles » sont issues d’une philosophie de gestion qui vise, d’une part, à améliorer l’adaptabilité et la réactivité des équipes de développement et d’autre part à réduire, voire à éliminer, les divers types de gaspillages (fonctionnalités inutiles, anomalies tardivement identifiées, «retravail», temps d’attentes dûs au chevauchement entre les phases d’un projet, etc.) souvent rencontrés dans les projets informatiques. Elles permettent donc d’arriver aux résultats escomptés progressivement contrairement aux méthodes classiques ayant la réputation de décevoir dans les projets informatique.
La différence entre les méthodes « Agiles » et la méthode « Classique » réside dans la façons de définir les objectifs et les budgets. Les méthodes « Agile » améliorent les délais de livraison, les capacités de gestion du changement des priorités, la qualité des logiciels, la visibilité du projet.
Gunasekaran (1998) décrit l’agile manufacturing comme la capacité de survivre et de prospérer dans un environnement compétitif et instable. Les entreprises « agiles » sont capables de réagir rapidement aux changements des marchés qui eux sont régis par les demandes des clients.
Capability to survive and prosper in a competitive environment of continuous and unpredictable change by reacting quickly and effectively to changing markets, driven by customer-designed products and services » (Gunasekaran, 1998 dans Kettunen, 2009).
Nous découvrons comment mieux développer des logiciels par la pratique et en aidant les autres à le faire. Ces expériences nous ont amenés à valoriser :
Nous reconnaissons la valeur des seconds éléments, mais privilégions les premiers.
Référence : agilemanifesto.org